Le Baba ganousch c’est le joli nom donné au caviar d’aubergine, une purée d ‘aubergines rehaussée de tahini, de citron et d’huile d’olive ( en filet, voire en gouttes pour plus de légèreté ;-)… ). Un recette fraiche et légèrement acidulée que l’on consomme encore avec plaisir en ce mois de septembre ensoleillé …
Pour accompagner ce baba ganoush je vous propose des petits crackers allégés en matières grasses, à base de flocons d’avoine et huile d’olive.
Ingrédients du baba ganousch ;
2 aubergines
1/2 c à c de sel gris
Jus d’un petit citron
2 c à c de tahini ( purée de sésame )
Gomasio
Mettre au four préchauffé à 180°C les 2 aubergines telles quelles entières pour environ 50 minutes à 1 h…Laisser refroidir…
Récupérer à la petite cuillère la chaire de l’aubergine qui sera mixée avec le reste des ingrédients.
Goûter, rectifier l’assaisonnement, mettre au frais…
Au moment de servir, verser si besoin juste quelques gouttes d’huile d’olive, et saupoudrer de gomasio.
Ingrédients des crackers allégés en matières grasses aux flocons d’avoine ;
200 gr de flocons d’avoine
30 gr d’huile d’olive
110 gr d’eau
1 c à c d ‘origan séché
1/2 à 1 c à c de sel ( je vous conseille 1/2 c à c * )
Mélanger tous les ingrédients, former une boule, la placer sur une feuille de papier cuisson posée sur une plaque de cuisson.
Étaler la pâte obtenue à la main, à l’intérieur de la plaque. Faire l’équivalent d’un pseudo rectangle de 30 X 25 cm…
Pré-découper des formes sur la pâte étalée ( ici des losanges formés simplement au couteau ) …
Mettre au four préchauffé à 165 °C pour 45 minutes.
Sortir la plaque, laisser tiédir avant de couper les crackers à la main ou au couteau si besoin…
Le temps de cuisson aura besoin d’être adapté en fonction de l’épaisseur des crackers. Au besoin, si au bout de 45 minutes les crackers ne sont pas assez cuits, les couper selon les formes choisies, les retourner et les remettre au four éparpillés sur la plaque de cuisson, environ 5 minutes.
Note ;
Les crackers industriels sont toujours très salés, le sel vous invite à y revenir encore et encore, les industriels l’ont bien compris, ne tombez pas dans le piège…trop de sel, trop de sucre, même combat, on limite …